V au pays des muffins: septembre 2011

jeudi 29 septembre 2011

Memories from Big Sur....

"Ah, life is a gate, a was, a path to Paradise anyway, why not live for fun and joy and love or some sort of girl by a fireside, why not go to your desire and LAUGH..."

Jack Kerouac, Big Sur

from our summer trip

by Ryan Tatar

from our summer trip

by Ryan Tatar

from our summer trip

by Ryan Tatar

from our summer trip

By Ryan Tatar

from our summer trip

mercredi 28 septembre 2011

envie du matin...

Pour les amoureux-ses de la vie...

rien

juste une petite envie du matin à accompagner d'un caramel au beurre salé après un grand café...

By Shaun Sundholm

mardi 27 septembre 2011

Les carnets de Léa Stansal...

La vie brodée du monde magique de Léa Stansal...

où lorsqu'un artisanat devient un art...
http://www.leastansal.com/?page_id=596

"Certains de ses tissus portent une cicatrice. Le petit trou ou la tâche d’encre ne sont pas perçus comme des défauts, bien au contraire, ils rendent une robe à fleurs unique, presque vivante. Léa Stansal plante des jardins d’étoffes. Ses fleurs n’hésitent pas à éclore en trois dimensions, à dépasser les limites de l’imprimé. Brodées de fils et de rubans, parsemées de perles en bouton lovées dans de jolies feuilles dentelées ou soutenues par de frêles tiges, les fleurs débordent de leur cadre comme la nature reprend possession d’une chaumière en ruine. Cette générosité, cette abondance créent des liens entre différentes parties de l’oeuvre, abattent des frontières. Une lettre se transforme en un jardin médiéval, proche de l’enluminure. Le muret qui l’entoure laisse parfois dépasser une rose qui aurait des envies d’ailleurs. Cette végétation si variée réveille les sens. À l’oeil s’ajoute le doigt qui parcourt les reliefs, effleure les velours chauds, suit les nervures tracées par le fil, découvre les contrastes de textures et de formes. C’est un art qui appelle à la caresse..." Raphaëlle Laufer-Krygier

carnet no 4 : Les corps rapprochés

carnet no 5 : Fidélité

carnet no 15 : Une fleur dont on ne trouve trace dans aucun herbier

carnet no 21 : Rompre le silence

carnet no 33 : Coquelicot... tellement rouge!

carnet no 33 : La favorite de l'écureuil

carnet no 38 : La rose aux treize pétales

Je rêve de posséder de tels carnets...

Portes ouvertes vers d'autres mondes...

Vous rêvez, vous aussi?

dimanche 25 septembre 2011

Art all Night - DC 24.09.2011

Eclats de couleurs dans le noir.

Clichés de rue Technworld d'une Nuit Blanche -

teintés, colorés, tagués, peinturés, graffités, bombés

de la Street energy aux rythmes des DJ.

Nuit éphémère

nuit d'ivresse

de rubans adhésifs, de bombes, de rouleaux, de stickers, de peinture,

de platines, d'ordi...

dialectique des corps et de la beat...

Reflets d'une culture urbaine...

La nuit je mens
Je prends des trains
à travers la plaine
La nuit je mens
Je m'en lave les mains.

J'ai dans les bottes
des montagnes de questions
Où subsiste encore ton écho
Où subsiste encore ton écho.
J'ai fait la saison
dans cette boîte crânienne
Tes pensées, je les faisais miennes
T'accaparer, seulement t'accaparer
d'estrade en estrade
J'ai fait danser tant de malentendus
Des kilomètres de vie en rose
Un jour au cirque
Un autre à chercher à te plaire
dresseur de loulous
Dynamiteur d'aqueducs

La nuit je mens
Je prends des trains à travers la plaine
La nuit je mens
effrontément

Paroles Bashung-Fauque "Fantaisie Militaire"